Full text: Archiv für bürgerliches Recht (Bd. 18 (1900))

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I. Köhler.

stitut, precaire et retention d’usufruict: es unterscheidet also Schen
kung von Erbgut (aneien) und von sonstigem Vermögen.
In Metz (1611) VII 5 verlangte man 1a delivrance et tradition
actuelle des choses donnees.
In Luxemburg (1623) XIV 2 und in Diedenhofen (1661)
XIV 2 forderte man gar, que le donateur se retire desdits biens
an et jour, sans s’en mesler ni en jouir.
Doch dies blieben Ausnahmen.
Hiermit ist die Entwickelung des französischen Rechtes bis zum
Code civil abgeschlosseu. Das 17. und 18. Jahrhundert bietet uns
keine neuen Züge mehr. Den Stand des Rechts zeigt uns Fleury
„Institution dn Droit frangois“ II 8 und 18;51) es heißt hier II 8:
ii y a encore quelques coutumes, oii il ne suffit pas d’avoir paye
les lods et ventes, quand ils ont lieu, mais, en toutes acquisitions,
il faut prendre l’investiture du seigneur, apres que celui dont on
acquiert s’est devetu entre ses mains, et c’est ce que l’on appelle
pays de nantissement. A Paris il n’est pas necessaire de prendre
cette saisine; mais que l’on la prenne ou non, le seigneur peut
se faire payer un droit particulier pour cela.52)
.Les lods et ventes sont une partie du prix de
la vente ou de l’heritage echange ou donne, dans les coutumes
oü ils sont dus pour toutes alienations. A Paris cette partie du
prix de la vente.est de seize deniers pour livre.
Wichtiger ist die zweite Stelle II 18 p. 402. Es ist hier die
Rede von den Rechtsfolgen des Kaufes: .A l’egard de
l’acheteur il a . . . l’action personelle pour la delivrance de la
ehose et la restitution des fruits du jour qu’il a paye ou offert
le prix. En cas que le vendeur ne voulüt pas livrer la ehose,
l’acheteur s’en mettroit en possession malgre lui, en
vertu de son contract qui porte toujours tradition
feinte.53)
61) Ed. Laboulaye-Dareste I p. 270, 402.
52) Hiernach ist die Praxis bezüglich der Gebührenpflicht wieder auf den
Standpunkt Dumonlins zurückgegangen, trotz des neuen Stadtrechtes.
6S) Weniger bietet Domat (I 1696): Doix civiles I 2 sect. 2 nr. 6 und 7,
der nur eben das Konstitut mit Vorbehalt des precarium und des usustructus
erwähnt. (Ed. 1705 p. 34.)

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