GUIDE DE FLORENCE
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Ici l’on trouve la porte de la sacristie , dans laquelle on
voit un Christ en croix, les deux Maries et plusieurs Saints,
à la manière de Taddeo Gaddi.
On monte à la chapelle suivante, par un escalier en
pierre , sous lequel est situé le tombeau de Gondi-Dini. Sur
l’autel, on voit un Crucifix, peint par Giolto.
Sainte-Marguerite de Cortone, par Pietro Marchesini.
Saint-Bernard, par Fabrizio Boschi.
Le Crucifix, auteur inconnu.
Saint-Antoine, statue en bois, par Baldassarre Fiammingo.
Saint-Jérôme, fresque de Domenico del Ghirlandajo.
L’Assomption, par Tommaso da S. Frediano. Les Anges
dans le haut du tableau, par Santi di Tito.
Saint-André Martyr, par Matteo Rosselli.
L’Annonciation , par Bartolommeo Traballesi.
L’Annonciation , par Pietro Cavallini.
(Sur la porte principale). La Vierge et Saint-François,
par Cosimo Ulivelli.
Dans le premier cloître on voit plusieurs fresques re¬
marquables. — Celles des cinq premières lunettes sont
l’ouvrage de Giovanni da San Giovanni; les deux suivantes de
Galeazzo et Gio. Batt. Guidoni. — Deux autres de Ligozzi,
pl six autres de Nicodemo Ferrucci. Toutes les autres au nom¬
pre de quinze, du côté du couvent, par Jacopo Ligozzi. Les
portraits dans les bases de la voûte, sont des trois frères Bo¬
schi, et un de Vincenzo Meucci. Dans le Réfectoire, on voit
un Cénacle , peint par Domenico del Ghirlandajo, fort endom¬
magé par le temps.
Comme la rue Borgo Ognisssanti, est la continuation de
la ligne qu’on a choisie depuis longtemps pour les courses
des Barberi, on trouve à gauche , en allant vers la porte , la
Terrasse où la famille royale vient assister à ce specta¬
cle. Cette loge a été achevée et embellie l’an 1820, par l'archi¬
lecte Luigi De Cambray Digny.
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