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SCULPTURES 
244. L’Enfant mourant. Statue nue, couché sur un 
manteau. L’abandon général du corps, l’expression de la 
tête, expriment exactement le moment terrible où l’hom- 
me sent la vie qui lui échappe. Le bras droit et le pied 
droit sont modernes. 
245. Jeune homme presque nu, à genoux, tenant le 
revers de la main gauche sur l’échine. On croit que cette 
statue n’appartient pas à ce groupe; autrefois elle pas¬ 
sait pour un Narcise. Le bras droit, la tête et une partie 
du torse sont modernes. 
246. Jeune fille habillée dans l’attitude de la fuite. 
La belle tête manifeste avec beaucoup d’expression, la 
surprise et la douleur; elle cherche à se defendre en 
levant de la main droite une partie de son vêtement. 
La main gauche et le pied gauche sont modernes. 
247. Un vieillard avec la barbe, vêtu d’une casaque 
de campagnard appelée par les anciens paludamentum. 
Il semble courir à l’hyppodrome où se passe la terrible 
catastrophe des enfants de Niobé. Les antiquaires ont 
supposé que c’était le père Amphion, mais Winckelmann 
le croit un des pédagogues de cette malheureuse famille. 
Les bras ainsi que la tête sont modernes. 
248. Niobida fils, debout, presque nu, couvrant une 
partie de son corps d’un manteau ordinaire, appelé chla- 
myde, avec lequel il semble vouloir garantir sa tête, il 
parait prendre la fuite pour échapper au danger qui le 
menace. La moitié du bras droit, tout le bras gauche, 
et la jambe droite ont été restaurés. 
249. Jeune fille habillée; statue d’un mérite infé¬ 
rieur relativement aux autres. Les bras et le cou sont 
modernes. 
250. Niobida fils, presque nu. Il tâche de se préserver 
du danger en se couvrant de sa chlamyde, qu’il soulève 
de la main gauche. Dans cette statue, la fuite comme la 
frayeur sont parfaitement exprimées. Les bras, la jambe 
droite et una partie des draperies sont modernes. 
251. Niobida fille, habillée. On ne croit pas que cette 
statue fasse partie du groupe de Niobé, mais plutôt qu’elle 
représente une Psyché, sans ailes, car elle est en tout