Full text: Tome II (2)

INTERPRÉTATION DES SIGLES. 
1° LA LETTRE K 
Remarque de Schneider : Lorsque des cotes vitruviennes ont leur 
équivalent chez Athénée, le signe K ne trouve dans le texte grec rien 
qui lui corresponde; 
D'où l’invraisemblance d’une valeur numérale. 
L’hypothèse numérale ainsi écartée, si l’on parcourt le chapitre xy du 
livre X, on constatera que la lettre K se place toujours en des endroits 
où le sujet change; ce qui donne à croire que son rôle est d'indiquer 
des séparations de paragraphes : 
Probablement elle n'est autre chose que l'abréviation du mot Caput, 
dont une ancienne orthographe, attestée par la Lex Manilia, était 
Kaput. 
Dans la traduction, nous adapterons comme équivalent de la lettre K, 
le signe J. 
2° LES GROUPES DE POINTS 
Quant aux groupes de points, ils ont leurs analogues dans les in¬ 
scriptions; et toujours ils se présentent à la suite de sigles numéraux. 
Les sigles numéraux étant pour la plupart empruntés à l’alphabet 
courant, des marques distinctives étaient utiles : 
Ces marques, sont les groupes de points dont nous venons de repro¬ 
duire les types. 
Dans l’impression du texte, nous indiquerons par des astérisques 
la place qu’ils occupent dans les manuscrits. 
OMISSIONS ET ÉQUIVOQUES 
OMISSIONS 
Apparemment, pour les scribes du moyen âge qui nous ont transmis 
Vitruve, la plupart de ces signes ne répondaient à aucune idée :
	        
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