INTERPRÉTATION DES SIGLES.
1° LA LETTRE K
Remarque de Schneider : Lorsque des cotes vitruviennes ont leur
équivalent chez Athénée, le signe K ne trouve dans le texte grec rien
qui lui corresponde;
D'où l’invraisemblance d’une valeur numérale.
L’hypothèse numérale ainsi écartée, si l’on parcourt le chapitre xy du
livre X, on constatera que la lettre K se place toujours en des endroits
où le sujet change; ce qui donne à croire que son rôle est d'indiquer
des séparations de paragraphes :
Probablement elle n'est autre chose que l'abréviation du mot Caput,
dont une ancienne orthographe, attestée par la Lex Manilia, était
Kaput.
Dans la traduction, nous adapterons comme équivalent de la lettre K,
le signe J.
2° LES GROUPES DE POINTS
Quant aux groupes de points, ils ont leurs analogues dans les in¬
scriptions; et toujours ils se présentent à la suite de sigles numéraux.
Les sigles numéraux étant pour la plupart empruntés à l’alphabet
courant, des marques distinctives étaient utiles :
Ces marques, sont les groupes de points dont nous venons de repro¬
duire les types.
Dans l’impression du texte, nous indiquerons par des astérisques
la place qu’ils occupent dans les manuscrits.
OMISSIONS ET ÉQUIVOQUES
OMISSIONS
Apparemment, pour les scribes du moyen âge qui nous ont transmis
Vitruve, la plupart de ces signes ne répondaient à aucune idée :